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Ce blog se propose de faire découvrir quelques films muets
moins connus depuis les débuts du cinéma jusqu'en 1930 environ (à ce jour plus de 1'000 films, serials et shorts ...) ainsi que quelques films sonores. Le but était de lister 1'000 films incluant un descriptif ainsi qu'un commentaire écrit sans prétention. C'est chose faite depuis la fin janvier 2022 !

Déclencheur de ce blog, le premier message daté du 09.06.2010 :
Lazybones


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mercredi 9 décembre 2020

The Beloved Rogue - Alan Crosland - 1927

 


A Paris. Le roi Louis XI voit avec appréhension l'arrivée du Duc de Bourgogne, accompagné par Thibault d'Aussigny. Son astrologue le pousse à lui réserver bon accueil.

Pendant ce temps en ville, la foule des gueux se réjouit de nommer le roi des fous en la personne de François Villon, un poète acclamé doublé d'un filou et d'un coureur de jupons invétéré. Avec ses copains Jehan et Nicholas, il vient tout juste d'arnaquer un aubergiste pour obtenir du vin sans bourse délier. François est le fils d'un homme mort sur le bucher pour la France et sa mère a de grands espoirs pour lui.

Déguisé en clown par la foule qui l'acclame, François est perché sur une statue de cheval lorsque le Duc arrive, puis le Roi, accompagné de sa pupille, la belle Charlotte de Vauxcelles. Comme il a insulté les nobles, le Roi lui interdit de remettre les pieds à Paris et le pauvre François, malheureux, doit s'exiler.

Le Duc de Bourgogne, fin malin, force la main du roi en demandant la main de Charlotte pour son ami Thibault. Le Roi n'a pas d'autre choix que d'accepter pour ne pas contrarier son hôte.

Non loin de la ville dans une auberge de faubourg, François noie son chagrin dans l'alcool lorsque Thibault et Charlotte qui se rendent à Vauxcelles pour se marier, font leur apparition.

Comme François fait le clown avec une catapulte avec laquelle il projette des pierres sur la foule, il finit par se projeter lui-même dans la chambre de Charlotte devant laquelle il tombe en pâmoison. Son admiration grandit encore lorsqu'il découvre que la jeune fille lit ses oeuvres.

Thibault est furieux de découvrir François dans la chambre de Charlotte, mais le poète lui échappe et finit par emmener Charlotte par dessus les toits jusqu'à la maison de sa mère qui prendra soin de la jeune fille qui abhorre le mari que le roi lui a imposé.

De son côté le roi finit par comprendre qu'il s'est mis dans une situation sans issue en permettant au Duc et son ami de prendre leurs aises non loin de Paris et se réjouit d'apprendre que François l'a tiré d'embarras en enlevant sa pupille. Toutefois il envoie ses hommes pour le juger et s'en débarrasser une bonne fois pour toute. Mais François est un malin et annonce que le roi mourra 24 heures après sa propre mort. Le roi, très suspicieux, le grâce donc ...

Dommage que John Barrymore se comporte comme un clown presque tout le long du film. Il est aussi difficile de lui accorder le bénéfice du doute en ce qui concerne son amour soudain pour Charlotte et en connaissant son passé de Don Juan. Ce passé et ce cabotinage ne permet pas au spectateur de le prendre au sérieux.

La fin bascule dans l’excès et François est montré comme un martyr, les bourreaux du Duc de Bourgogne s'en donnent à coeur joie pour le torturer. Il apparait tout à coup tel Tarzan, vêtu d'un simple pagne. Vu le temps qu'il a passé dans les flammes, il aurait du rôtir comme un poulet mais grâce à la magie du cinéma, il est miraculé !

Conrad Veidt se montre tordu dans tous les sens du terme. Seule Marceline Day est crédible dans cette histoire, de même Lawson Butt et Henry Victor qui donnent un minimum d'épaisseur à leurs rôles. Les autres sont trop cabotins pour moi.

Le film se passe en hiver dans la neige, ce qui rehausse la beauté des images bleutées.


98 minutes


John Barrymore ... François Villon

Conrad Veidt ... King Louis XI

Marceline Day ... Charlotte de Vauxcelles

Lawson Butt ... Duke of Burgundy

Henry Victor ... Thibault d'Aussigny

Slim Summerville ... Jehan

Mack Swain ... Nicholas

Angelo Rossitto ... Beppo - the Dwarf

Nigel De Brulier ... Astrologer

Lucy Beaumont ... Villon's Mother


mercredi 11 décembre 2019

The World and its Woman - Frank Lloyd - 1919



En Union soviétique en ce temps là, le Prince Orbelianof a engagé un ingénieur américain, Robert Warren, pour gérer un gisement de pétrole.

Un jour le prince, accompagné de son jeune fils Michael, se rend chez l'ingénieur qui a une petite fille. Celle-ci est très indépendante et tombe d'un arbre à leur arrivée. Le petit Michael s'approche et engage la conversation et la petite fille, Mary, a bien de la peine à croire qu'il est prince. 
Quelques jours plus tard le prince revient et Mary, qui a relu Cendrillon et qui trouve que le garçon est mignon et gentil, déclare être d'accord de l'épouser plus tard ce à quoi il répond qu'elle ne le pourra pas car il est prince.

Quelques mois plus tard, Robert Warren fait une crise cardiaque en apprenant qu'il est ruiné alors qu'il avait espoir que ses placements lui permettent de retourner aux Etats-Unis.

Le temps passe, Michael est parti étudier à l'étranger. Lorsqu'il revient il est accompagné d'amis, dont un comte ruiné, Alex Voronof et une veuve qui veut continuer à mener grand train de vie et vise un mariage avec Michael, la baronne Olga Amilarovna. Le petit groupe s'arrête devant la maison de Mary pour abreuver les chevaux. Heureuse de revoir celui qu'elle a chéri dans son coeur toutes ces années, Mary s'avance tout sourire mais Michael ne la reconnait pas.

Dépitée Mary rentre et s'installe devant le piano sur lequel elle s'accompagne en chantant un air mélancolique. Le Prince Boris, qui passait justement, en a le coeur tout retourné car le chant lui rappelle sa défunte femme. Il demande alors à Mary de venir chanter le soir même à la maison.
Mary est heureuse d'accepter mais le soir elle surprend Olga dans les bras du Comte Alex et comprend que cette femme est vénale et n'arrive plus à chanter.  Le secrétaire de Michael, Serge, la ramène chez elle.  Serge est un fils de paysan très ambitieux et il a maintenant des vues sur Mary. Malheureusement Michael n'a rien compris des intentions d'Olga qu'il épouse, avant de réaliser, quelques mois plus tard, son erreur.

A Petrograd (Saint-Pétersbourg), Mary survit grâce à une bourse versée par Boris, maintenant décédé. Lorsque Serge fait remarquer à Michael que la somme de 500 roubles est versée chaque mois à Mary Warren, Michael décide de poursuivre la bonne action de son père et envoie Serge annoncer la bonne nouvelle à la jeune fille.
Celle-ci a passé brillamment une audition à l'opéra où elle est désormais engagée. Elle refuse d'accepter l'argent par fierté pour ne rien devoir à celui qu'elle aime toujours secrètement. Serge tente de la forcer à s'intéresser à lui et une pauvre artiste abandonnée par son imprésario, Mamie, sauve la situation et Mary l'engage.

Le soir de son premier engagement à l'opéra, tout le gratin de la ville est présent, sauf Olga partie batifoler avec Alex. C'est un triomphe. Michael qui a cru reconnaitre la jeune fille qui abreuvait les chevaux, se rend dans sa loge et tombe des nues lorsque la jeune femme lui rafraichit la mémoire.
Serge voudrait bien se rendre dans la loge mais Mamie le chasse à nouveau ce qui attise la jalousie d'Irina, amoureuse de Serge et vieille connaissance de Mary ...





Difficile de s'emballer pour cette histoire qui pourtant aurait pu avoir la consistance nécessaire pour captiver l'audience. Malheureusement on reste plutôt distant face à l'action. Il est d'ailleurs difficile de dire pourquoi, si ce n'est que l'action manque d'émotion ou de gros plans peut-être. C'est dommage car la fin est, tout à coup et de manière inattendue, palpitante.

De 1915 à 1920 la célèbre soprano Geraldine Farrar a tourné dans 15 films. Sa carrière à l'opéra est immense et elle a chanté avec les plus grands (Caruso) et devant les grands de l'époque,
Lou Tellegen a été son mari de 1916 à 1923.

 Historiquement je n'ai pas trouvé trace des femmes "nationalisées" telles qu'elles sont montrées dans le film.




Une Idylle dans la tourmente





93 minutes

Geraldine Farrar ... Marcia Warren(Mary)
Lou Tellegen ... Prince Michael Orbeliana
Mae Giraci ... Young Marcia Warren -Mary
Francis Marion ... Young Prince Michael Orbeliana
Alec B. Francis ... Prince Michael Orbeliana the Elder- Boris Oberlianof
Edward Connelly ... Robert Warren (as Edward J. Connelly)
Naomi Childers ... Baroness Olga Amilahvari - Olga Amilarovna
Lawson Butt ... Peter Poroschine (as W. Lawson Butt) - Serge
Arthur Edmund Carewe ... Count Alix Voronassof (as Arthur Carewe)- Alex Voronof
Rose Dione ... Erina Rodina (as Mme. Rose Dione)- Irina
Lydia Yeamans Titus ... Mamie Connors



mercredi 3 avril 2019

Dangerous Days - Reginald Barker - 1920

Pauline Starke
Les usines Spencer tournent à plein pot, la production d'obus a le vent en poupe, la guerre fait rage en Europe.
Cela ne dérange pas Madame Spencer qui donne un bal masqué sous prétexte de récolter des fonds pour les victimes du conflit.

Son mari, Clayton est sincèrement désolé par la tournure des événements et offre une belle somme d'argent au curé pour ses orphelins belges tandis que leur fils, Graham, coule une vie sans souci et flirte allégrement sous le regard de Delight Haverford qui est bien désolée de voir celui qu'elle considère comme son fiancé regarder d'autres filles.


A l'usine, Graham a une secrétaire nommée Anna. Celle-ci est la fille de leur contremaitre, Herman Klein, un nouveau citoyen américain d'origine allemande.

Lawson Butt, Pauline Stark, Rowland V. Lee
Quand les Etats-Unis commencent à envisager d'entrer dans le conflit, Herman est déboussolé car son cousin Rudolph l'adjure de commettre un acte patriotique en faveur de ceux restés sur le vieux continent. D'abord peu convaincu Herman finit par se trouver confronté à lui-même et donne sa démission à l'usine.
Seule Anna continue à travailler pour Graham qu'elle aime secrètement. Lorsque le jeune homme lui offre une montre en témoignage d'amitié et de sa reconnaissance pour son travail, Anna est très émue.
Mais Rudolph qui voit tout dénonce la jeune femme à son cousin pour le pousser à rejoindre les troupes de saboteurs allemands et faire sauter l'usine. Pour bien s'assurer une réaction immédiate, il annonce à Herman qu'Anna s'est compromise avec Graham. Le père donne les tours comme de bien entendu et lorsque les Etats-Unis entrent en guerre, il demande à se faire réengager au sein de l'entreprise. Clayton accepte.
De son côté Graham veut s'engager dans les troupes et sa mère est terrorisée à cette idée tandis que son père voit là un beau geste patriotique ...



Sabotage sur fond de passion et de patriotisme. Malheureusement le film est trop incomplet pour se faire une idée objective. De ce qu'on peut voir, l'histoire n'est pas très plausible et même un peu barbante. Dommage car Reginald Barker nous a habitué à beaucoup mieux !

Ann Forrest
Anna Klein est folle du jeune Graham qui ne s'intéresse pas vraiment à elle jusqu'au moment où elle le cherche ouvertement. Le père Clayton n'aime plus sa femme (lui seul semble avoir une attitude décente dans le film) mais est sous le charme de Antonia Valentine. Celle-ci perd son mari à la guerre (c'est bien pratique pour le scénario), Madame Spencer quant à elle s'accroche à son fils qui tente de devenir adulte enfin..
Le père Klein pourtant contremaître est influençable et à la limite simplet (on se demande comment il pouvait être apprécié et contremaitre dans les usines Spencer), l'oncle Rudolph Klein est horrible (on voit bien qu'il n'est pas sain dans sa tête et dans ses actes), bref, difficile de se laisser prendre par l'action.



77 minutes (forme visible actuellement)

Titre belge : Heures d'épouvante

Lawson Butt ... Clayton Spencer
Clarissa Selwynne ... Natalie Spencer
Rowland V. Lee ... Graham Spencer (as Rowland Lee)
Ann Forrest ... Anna Klein
Stanton Heck ... Herman Klein
Milton Ross ... Dunbar (as H. Milton Ross)
Pauline Starke ... Delight Haverford
Bertram Grassby ... Rodney Page
Frank Leigh ... Rudolph Klein
Edward McWade ... Dr. Haverford (as Eddie McWade)
Barbara Castleton ... Audrey Valentine (ou Antonia Valentine)
Florence Deshon ... Marion Haydon
Barbara Castleton

mercredi 19 avril 2017

The Tiger's Coat - Roy Clements - 1920



Un différend sépare Andrew Hyde et Alexander MacAllister qui se détestent. Après que Hyde ait quitté la maison, une jeune femme se présente à la porte de MacAllister et lui fait parvenir une lettre écrite par l'un de ses vieux amis, Ogilvie, dans laquelle il dit à sa fille de se réfugier chez son ami MacAllister s'il venait à disparaitre.
Mac est heureux d'héberger Jean Ogilvie qui tente bien de lui dire quelque chose le soir de son arrivée. Plus tard, Mac conscient des qu’en-dira-t-on, confie sa protégée à un couple, les Mendall dont le mari est un artiste peintre. Celui-ci semble se souvenir d'avoir peint le portrait d'une jeune Mexicaine ressemblant à Jean à Tijuana. Il n'est d'ailleurs pas le seul à trouver la peau de la jeune fille plus sombre que celle d'une écossaise pure souche mais le soleil du Mexique semble donner une explication rationnelle à son teint bronzé.

Petit à petit, Mac et Jean tombent amoureux l'un de l'autre et Mac annonce leurs fiançailles. Tout aurait été pour le mieux dans le meilleur des  mondes si Hyde n'avait pas envoyé son homme de loi enquêter à Tijuana. Au Mexique celui-ci apprend que Jean Ogilvie est décédée depuis de nombreux mois.

A son retour l'enquêteur se rend directement auprès de Hyde auquel il confie la nouvelle et bien sûr celui-ci est heureux de casser le bonheur de son rival ...


Un film de conte de fées, la petite servante étrangère se verra aimée pour ce qu'elle est malgré la barrière interraciale de l'époque. Le film est mieux que le laisse croire la note de 4,9 sur IMDB.
Roy Clements n'est pas un de ces réalisateurs très connus de l'âge d'or du cinéma, pourtant il a tourné plus d'une centaine de films pendant la période du muet.

La vie de Tina Modotti est digne d'un roman : ouvrière dès 14 ans, mannequin, actrice (elle tournera 3 films dont celui-ci), mais surtout photographe et militante révolutionnaire et communiste, elle a connu Neruda et Frida Kahlo. 

Frère d'une célèbre contralto, Clara Butt, Lawson Butt verra sa carrière cinématographique prendre fin avec la venue du son.

On trouve ce film édité par Zweitausendeins, musique de Jasper van't Hof, copyright 2005.


60 minutes



Lawson Butt ...
Alexander MacAllistter (as W. Lawson Butt)
Tina Modotti ...
Jean Ogilvie / Maria de la Guarda
Myrtle Stedman ...
Mrs. Carl Mendall
Miles McCarthy ...
Andrew Hyde (as Myles McCarthy)
Frank Weed ...
Frederick Bagsby
J. Jiquel Lanoe ...
Carl Mendall (as Jiquel Lanoe)
Nola Luxford ...
Clare Bagsby


mardi 12 novembre 2013

The Lady of the Lake - James A. Fitzpatrick - 1928



45 minutes environ
d'après le poème de Sir Walter Scott

La fille de Douglas, Helen, cherche son père Douglas, le rival du roi Jacques V, qui  se cache dans les Highlands. Elle rencontre un étranger nommé James FitzJames qu'elle emmène auprès des siens. Il est alors fait prisonnier par les hommes du clan de Roderick Dhu un fervent partisan de Douglas. Voyant que FitzJames est en danger d'être tué, Helen le libère et l'emmène en barque au loin. FitzJames lui remet alors pour la remercier une bague qui devrait lui donner la protection du Roi.
Roderick aimerait obtenir la main de Helen mais celle-ci est amoureuse de Graeme, un jeune chef des Highlands. 
De son côté FitzJames rencontre Roderick qui lui offre l'hospitalité pour une nuit dans son camps malgré leur rivalité ...

Le dialogue est tiré du poème de Sir Walter Scott ce qui aurait pu donner un souffle différent à cette histoire traitée de façon assez ennuyeuse. Malgré l'anglais moderne naissant (Early Modern English) on arrive à suivre ce film assez court.
Les paysages sont assez jolis et les costumes paraissent authentiques, pour le reste on se demande si c'est la mise en scène qui est mauvaise ou les acteurs ? Percy Marmont se montre maigrichon et pincé, Roderick alias Lawson Butt aurait mérité un peu plus de place, Graeme n'inspire pas spécialement de l'intérêt non plus. Seule Benita Hume, qui a un petit air d'Olivia de Haviland, semble plutôt à l'aise.

On trouve ce film chez Oldies, édité par Alpha Home Entertainment avec la qualité habituelle à cette édition, c'est-à-dire plutôt faible.


Plus de détails sur ce poème sur Wikipedia.


Pour terminer un portait de cet acteur peu connu, Lawson Butt (il porte une grosse barbe dans le film !)

Percy Marmont ...
James FitzJames
Benita Hume ...
The Lady of the Lake
Lawson Butt ...
Roderick Dhu
James Carew ...
Lord Moray
Haddon Mason ...
Malcolm Graeme
Hedda Bartlett ...
Margaret
Leo Dryden ...
Allan Bayne
Sara Francis ...
Blanche of Devon
James Douglas ...
Douglas

Titres français (incomplet)

Admirable Crichton (L') Aigle des Mers (L') Ailes Brisées (Les) amant éternel (L') Amour de Jeanne Ney (L') Après la pluie le beau temps Arche de Noé (L') Asphalte Au bout du monde Au Service de la loi Aurore (L') Avalanche (L') Baiser (Le) Barbara fille du désert Bardelys le magnifique Bateau ivre (Le) Belle ténébreuse (La) Bessie à Broadway Bête enchaînée (La) Bon petit diable (Le) Bru (La) C'est la Vie Caravane vers l'ouest Casaque verte (La) Ce n'est qu'un au revoir Cendres de vengeance Chanson païenne Chapeau de New York (Le) Charrette fantôme (La) Chasseurs de baleines (Les) Chasseurs de salut (Les) Club des trois (Le) Coeur de l'humanité (Le) Coeur Fidèle Coeur nous trompe (Le) Coeurs du monde Comte de Monte Cristo (Le) Cottage enchanté (Le) Crainquebille Crépuscule de Gloire Cuirassé Potemkine (Le) Dame de pique (La) Damnés de l'océan (Les) Dans la tourmente Dans la ville endormie Danse Rouge Dernier avertissement (Le) Dernier des Don Farrel (Le) Dernier des Mohicans (Le) Déshérités de la vie (Les) Désordre et Génie Deux orphelines (Les) Diable au Corps (Le) Divine (La) Dix Commandements (Les) Droit au bonheur (Le) Droit d'aimer (Le) Droit d'asile (Le) Empreinte du passé (L') Enchantement Enigme (L') Ensorceleuse (L') Escaliers de service Et puis ça va Eternel problème (L') Etoiles de la gloire (Les) Etudiant de Prague (Le) Eventail de Lady Windermere (L') Expiation Femme au corbeau (La) Fiancées en folie (Les) Figurant (Le) Fils d'Amiral Fils du Sheik (Le) Fleur d'amour (La) Forfaiture Foule (La) Frères Brigands (Les) Grande Parade (La) Heure suprême (L') Homme aux yeux clairs (L') Homme du large (L') Homme que j'ai tué (L') Homme qui rit (L') Huit jours de bonheur Idylle dans la tourmente (UNe) Île du Salut (l') Illusion perdue (L') Indésirable (L') Infidèle (L') Insoumise (L') Instinct qui veille (L') Interférences Intrépide amoureux (L') Jaguar de la Sierra (Le) Jardin du plaisir (Le) Jardinier (Le) Jeune Rajah (Le) Jim le Harponneur Journal d'une fille perdue (Le) Justicier (Le) Lâche (Un) Larmes de clown Lettre écarlate (La) Lien brisé (Le) Loi des montagnes (La) Loulou Lys brisé (Le) Maître à bord (Le) Mariage mouvementé (Un) Mauvaise brebis (La) Mécano de la Général (Le) Monte là-d'ssus Moran du Lady Letty Mystérieux X (Le) Nuits de Chicago (Les) Oiseau noir (L') Opérateur (L') Page folle (Une) Palais de la chaussure Pinkus (Le) Parias de la vie Patrie (Sa) Père Serge (Le) Phalène Blanche (La) Piste de 98 (La) Portes de l'enfer (Les) Quatre Fils (Les) Rail (Le) Rançon d'un trône (La) Rapaces (Les) Rédemption de Rio Jim (La) Repentir (Le) Réprouvé (Le) Réquisitoire Révélation Révoltés (Les) Riche famille (Une) Rictus de Satan (Le) Ris donc paillasse Rose blanche (La) Roue de la Fortune (La) Routes en croix Rue des rêves (La) Rue sans joie (La) Sa majesté la femme Satan Secrétaire particulière (La) Secrets Serment de Rio Jim (Le) Sexes enchaînés Signal de feu (Le) Sirène du Pacifique (La) Soif de vivre (La) Solitude Sorcellerie à travers les âges (La) Sportif par Amour Tais-toi mon coeur Talisman de Grand-mère (le) Tempête Tentatrice (La) Tigresse royale (la) Tombeau des amants (Le) Tricheuse Trois âges (Les) Trois lumières (Les) Veilleur de rail (Le) Vengeance de Jim (La) Vierge mariée (La) Vikings (Les) Visages d'enfants Vive la France! Vive le sport! Voleuse (La) Volonté du mort (La)

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